Emploi
Contexte
L’emploi comporte des avantages économiques évidents. Mais avoir un travail, c’est aussi rester en lien avec la société, renforcer son estime de soi et améliorer ses qualifications et ses compétences. Les pays qui affichent des taux d’emploi élevés sont également plus riches, plus stables politiquement et leur population est en meilleure santé.
Taux d’emploi
Dans l’ensemble des pays de l’OCDE, près de 66 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. On trouve les niveaux d’emploi les plus élevés en Suisse (80 %), en Islande et aux Pays-Bas (78 %) et les plus faibles en Afrique du Sud (39 %), en Turquie (48 %), au Costa Rica (55 %) en Grèce et au Chili (56 %). En règle générale, les taux d’emploi des plus éduqués sont supérieurs : on estime à 84 % le pourcentage des diplômés de l’enseignement supérieur ayant un emploi rémunéré dans les pays de l’OCDE, contre 44 % pour les personnes n’ayant pas atteint le deuxième cycle de l’enseignement secondaire.
En dépit d’une progression constante de l’emploi féminin pendant les quinze dernières années, les femmes ont toujours moins de chances que les hommes de trouver un emploi. En 2020, 59 % des femmes, en moyenne, occupaient un emploi, contre 74 % des hommes, dans les pays de l’OCDE. L’écart entre les hommes et les femmes est particulièrement notable en Turquie et au Mexique, au Costa Rica et en Colombie, et il est relativement mineur au Canada, en Estonie et dans les pays nordiques. L’accroissement des taux d’emploi féminin peut être expliqué par des changements structurels de l'économie et de la société, mais aussi par des facteurs liés aux mesures adoptées, tels que l’offre de structures d’accueil pour enfants, qui facilitent le retour au travail des mères de jeunes enfants.
Taux de chômage de longue durée
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre. Il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Ces effets peuvent perdurer, même après la reprise d’une activité. Dans toute la zone OCDE, le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.3 % dans l’ensemble de la zone OCDE.
Créer davantage d’emplois et des emplois de meilleure qualité constitue un défi de taille pour les pouvoirs publics. Il n’y a aucune différence, en moyenne, entre hommes et femmes pour ce qui est du chômage de longue durée dans la zone OCDE. Face au vieillissement de la population et à la hausse des dépenses sociales, faciliter l’emploi de ceux qui peuvent travailler est devenu une priorité.
Revenus moyens d’activité
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération du travail est la principale source de revenu de la plupart des ménages. L’analyse des revenus d’activité peut aussi constituer une indication du degré d’équité des rémunérations du travail.
En moyenne, les individus gagnent 49 165 USD par an dans les pays de l’OCDE, mais l’éventail des revenus moyens d’activité est très large. Aux États-Unis, au Luxembourg et en Suisse, la rémunération moyenne est plus de deux fois supérieure à celle des pays d’Europe de l’Est, du Chili, de la Grèce, de la Hongrie, du Mexique et du Portugal.
Sécurité de l’emploi
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Dans les pays de l’OCDE, la perte de revenus attendue pour les salariés est de 5 % en moyenne s’ils se retrouvent au chômage. Les salariés confrontés à un risque élevé de perte de leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Grèce, la perte de revenus est d’environ 22 %, et s’établit à 16 % en Espagne, contre moins de 2 % en Allemagne et en Islande.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Classement
Indicateurs
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Emploi dans le détail par pays
zaf Emploi - Afrique du Sud ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Afrique du Sud, environ 39 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est bien inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 17.9 % en Afrique du Sud, un chiffre bien supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. En Afrique du Sud, la rémunération moyenne est bien inférieure à la moyenne de l’OCDE, qui s’établit à 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Afrique du Sud, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est bien plus élevée que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Aider les jeunes à trouver un emploi formel
En Afrique du Sud, de nombreux travailleurs occupent des emplois informels, qui se caractérisent par une moindre qualité et un accès limité à la formation. L’initiative Harambee Youth Employment Accelerator met en contact des jeunes et des employeurs à la recherche de jeunes talents inexpérimentés afin de les aider à s’insérer dans l’économie formelle. Cofinancé par l’administration sud-africaine dans le cadre du fonds pour l’emploi, ce projet vise à rapprocher des jeunes et des employeurs potentiels au moyen d’évaluations psychométriques et qualitatives. Les jeunes qui ont terminé le deuxième cycle du secondaire sont plus particulièrement ciblés et une formation est dispensée à ceux qui ont un faible niveau de compétence en numératie. Les candidats ont aussi accès à des cours passerelles pour améliorer leur employabilité. Depuis son lancement en 2011, ce projet a placé environ 35 000 jeunes dans 300 entreprises dans toute l’Afrique du Sud.
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Indicateurs
lva Emploi - Lettonie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Lettonie, près de 72 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de presque 2.2 % en Lettonie, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. Les Lettons gagnent en moyenne 29 876 USD par an, un chiffre bien inférieur à la rémunération moyenne dans l’OCDE, qui est de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Lettonie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’il perdent leur emploi est de 6.3 %, un pourcentage plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Le dispositif Garantie pour la jeunesse en Lettonie
S’inspirant de l’expérience d’autres pays de l’UE, la Lettonie a mis en place un dispositif de Garantie pour la jeunesse en 2014, qui se décompose en trois temps et cible les jeunes entre 15 et 29 ans. La première étape est axée sur les politiques actives du marché du travail conçues pour les jeunes sans emploi. Pour la deuxième étape, les pouvoirs publics ont mis au point des programmes de formation « de la deuxième chance » destinés aux jeunes peu qualifiés, avec l’appui d’établissements d’enseignement et de formation professionnels (EFP). La troisième étape propose des activités visant à remobiliser les jeunes inactifs.
Pour bénéficier de l’aide offerte dans le cadre du dispositif de Garantie pour la jeunesse, les participants doivent s’inscrire auprès de l’agence nationale pour l’emploi ou déposer un dossier de candidature pour bénéficier des programmes de la deuxième chance dispensés dans les établissements d’EFP. La garantie a pour objectif d’assurer à chaque participant une offre d’emploi de qualité, une formation, ou un apprentissage ou un stage dans un délai de quatre mois après son inscription. La plus grande partie des initiatives sont soutenues par le Fonds social européen et l’Initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ) de la Commission européenne. S’il est trop tôt pour évaluer l’impact de la Garantie pour la jeunesse en Lettonie, certains résultats positifs sont déjà visibles. Depuis 2014, le nombre de jeunes qui participent à des programmes actifs du marché du travail a considérablement augmenté, particulièrement s’agissant des formations courtes : entre 2013 et 2014, la proportion de jeunes sans emploi participant à ce type de formations est passée de 50 % à 66 %. En dépit de ces résultats encourageants, l’accessibilité des programmes de formation doit se traduire par des résultats positifs sur le marché du travail pour les participants.
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deu Emploi – Allemagne ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Allemagne, environ 77 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.2 % en Allemagne, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. En Allemagne, la rémunération moyenne est de 53 754 USD par an, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Allemagne, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 1.4 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Viser une représentation paritaire
Dans de nombreux pays de l'OCDE, les femmes restent moins nombreuses que les hommes aux sommets de la hiérarchie des entreprises. Pour remédier à ce problème, l’Allemagne a instauré des quotas obligatoires en 2016, en vue de favoriser l’égalité femmes-hommes dans le secteur privé comme dans le secteur public. Ainsi, dans les entreprises cotées en bourse et celles qui appliquent le principe de la codétermination, ainsi que dans les grandes entreprises de 2 000 salariés ou plus, les femmes doivent occuper 30 % au moins des sièges des conseils de surveillance. Par ailleurs, les entreprises cotées en bourse et celles qui appliquent le principe de la codétermination sont tenues de publier des objectifs chiffrés quant à la proportion de femmes qui seront nommées aux conseils et aux postes de direction. Enfin, dans les entreprises publiques, le quota a été fixé à 50 % de femmes dans les conseils de surveillance d’ici à 2018 (30 % dans certains cas, lorsque tous les membres du conseil ne peuvent pas être nommés).
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aus Emploi – Australie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Australie, 73 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1 % en Australie, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. En Australie, la rémunération moyenne est de 55 206 USD par an, un chiffre supérieur à la moyenne de l’OCDE, qui est de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Australie, la perte de revenus attendue pour les salariés est de 3.1 % s’ils perdent leur emploi, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Faciliter le passage de l’école à la vie active
En Australie, des programmes de soutien ciblés aident les jeunes issus de milieux modestes à passer avec succès de l’école à la vie active.
Ainsi, la Beacon Foundation a mis en place un programme qui se déroule sur trois ans et qui mobilise les écoles, les acteurs locaux et les entreprises afin de préparer les jeunes au monde du travail. Dans son rapport annuel de 2013, la Beacon Foundation indique que, dans les 132 établissements où elle intervient, les taux de rétention, d’emploi et de participation sont supérieurs à la moyenne nationale. Plus de 98 % des élèves participant au programme travaillaient ou suivaient des études ou une formation à plein temps neuf mois après avoir terminé leur 10e année d’études, ce qui est supérieur de 11.6 % à la moyenne nationale pour les jeunes de 16 à 17 ans issus de familles défavorisées. Le programme propose aussi une journée de préparation au monde du travail pour les élèves âgés de 7 à 12 ans.
BoysTown est un service national pour les jeunes qui travaille en partenariat avec les services de la santé mentale, les établissements scolaires, les instituts d'enseignement technique et de formation continue (TAFE) et les services de l’emploi, afin de mettre au point des programmes de transition entre les études et la vie active. Ces programmes visent à mobiliser ou à remobiliser les jeunes en leur fournissant une aide personnalisée et des évaluations psychologiques, et en les formant aux compétences élémentaires, à la recherche d’emploi, aux compétences relationnelles et aux compétences de base indispensables dans la vie quotidienne. Selon les résultats d’une évaluation réalisée en 2004-2012 dans l’État du Queensland, 50 % des participants avaient trouvé un emploi, 20 % avaient repris leurs études et 20 % avaient commencé une formation agréée.
Faciliter la transition école-emploi
Redbank Plains State High School, établissement du deuxième cycle du secondaire dans le sud-ouest de l’Australie, à environ 30 km de Brisbane, se situe dans une région défavorisée accueillant de nombreux immigrés récents originaires du Pacifique et de Nouvelle-Zélande, et caractérisée par un taux de chômage relativement élevé. En 2011, l’école s’est mobilisée pour améliorer ses résultats, avec l’aide de financements étatiques et fédéraux, en partant notamment du constat qu’une part importante de ses élèves préféreraient entrer directement dans la vie active à la fin de leurs études secondaires.
Redbank Plains a lancé un programme, Choices not Chances, facilitant le passage des dernières années du secondaire à un emploi durable pour des élèves d’origines culturelles multiples. L’un des objectifs principaux est de lutter contre un chômage local enraciné, grâce à des partenariats locaux et à un soutien intensif aux élèves, à leurs familles et à la collectivité au sens large.
Grâce à ce programme, les élèves apprennent à mieux connaître différents secteurs d’activité et acquièrent les compétences et les savoir-faire requis pour y travailler. Des chefs d’entreprise locaux s’adressent aux élèves lors de réunions et des visites sont organisées pour confronter directement les élèves au monde du travail. En dernière année, ils ont la possibilité d’acquérir une première expérience professionnelle en suivant des stages en entreprise.
L’attention portée par l’établissement à l’entrée dans la vie active a même eu des avantages inattendus : des emplois pour les parents d’élèves. Grâce à ses liens avec l’école, une compagnie de bus locale qui avait du mal à trouver des employés a réalisé que les parents chômeurs des élèves de Redbank Plains pourraient être intéressés par des postes de conducteur de bus.
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aut Emploi – Autriche ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Autriche, 72 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.3 % en Autriche, un chiffre similaire à la moyenne de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 53 132 USD par an en Autriche, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Autriche, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.3 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Formation professionnelle supérieure
Le système autrichien de formation professionnelle supérieure (FPS) a obtenu des résultats satisfaisants par rapport aux autres pays.
Il se compose d’éléments très divers, notamment de nombreux programmes et établissements accessibles à différents groupes sociaux, qui proposent une multitude d’options aux élèves pour accéder à l’enseignement supérieur. Des examens professionnels très structurés offrent des gains supérieurs et des postes à plus grandes responsabilités aux individus qui acquièrent des compétences en cours d’emploi. Les partenaires sociaux font également partie du système de FPS, par le biais de la Chambre économique et de la Chambre du travail, en tant que membres actifs de nombreuses commissions et conseils de coordination. Dans ce contexte, les effectifs d’élèves ont continué à augmenter dans les établissements de FPS, et les Universités de sciences appliquées se sont bâti une excellente réputation auprès des étudiants, des employeurs et du grand public.
Afin de maintenir leur attractivité et pour répondre à une demande accrue de flexibilité et d’adaptation, les programmes de FPS doivent chercher à fournir des compétences qui dépassent le cadre d’un métier spécifique, et assurer de meilleures transitions vers l’éducation supérieure. Dans ce contexte, le système d’apprentissages modulaires et les FPS en université doivent être développés davantage.
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bel Emploi – Belgique ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Belgique, 65 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est légèrement inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 2.3 % en Belgique, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 54 327 USD par an en Belgique, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Belgique, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.4 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Aider les jeunes sans emploi à créer leur entreprise
Le projet DreamStart est fondé sur l'enseignement de l’élaboration de projets d’entreprise. Les participants sont sélectionnés sur la base d’un entretien d’admission qui évalue leur projet d’entreprise, leur motivation et leurs chances de réussite. Pendant 2 mois, ils se rencontrent trois jours complets par semaine pour étudier et interagir avec des entrepreneurs, des experts en création d’entreprise et d’autres entrepreneurs potentiels. Au cours de cette période, les participants reçoivent une formation et des conseils de la part d’experts volontaires issus des secteurs privé, public et financier, et ils collaborent pour élaborer leur projet d’entreprise. C’est aux participants qu’il revient de mettre leur projet en application et de lancer leur entreprise. Bien que les financements et les autres aides à la création d’entreprise ne fassent pas officiellement partie du programme d’aide, les participants ont souvent accès au microcrédit via MicroStart, une organisation sœur de DreamStart.
36 jeunes ont bénéficié de ce soutien au cours de 3 cycles de projet. 60 % de ceux qui ont achevé le programme ont créé une entreprise dans l’année. Un tiers d’entre eux ont travaillé à temps plein dans leur entreprise et deux tiers ont combiné la création de leur entreprise avec un emploi salarié. Après le programme, de nombreux participants ont établi leurs propres groupes non officiels de soutien entre pairs.
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bra Emploi – Bresil ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Brésil, près de 57 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 2.3 % au Brésil, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. Au Brésil, la rémunération moyenne est bien inférieure à celle de l’OCDE, qui s’établit à49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Brésil, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est bien supérieure à la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Lutter contre l’emploi informel
Les emplois informels se caractérisent généralement par un moindre niveau de rémunération, d’avantages et de protection juridique. Au Brésil, le taux d'activité informelle a chuté de plus de 12 points de pourcentage depuis 2000, à la faveur d’une croissance économique plus vigoureuse et d’actions spécifiques des pouvoirs publics. Dans toute l’Amérique latine, le Brésil est l’un des pays qui a le mieux réussi à réduire l’activité informelle. Selon certaines études, la simplification des procédures administratives pour l’enregistrement des entreprises individuelles, notamment la possibilité de s’enregistrer rapidement en ligne, ainsi que des règles à suivre pour respecter les obligations fiscales et de cotisation, a contribué à régulariser près de 500 000 microentreprises et 2 millions d’emplois en l’espace de cinq ans. L’expérience du Brésil montre aussi que ce type de programmes implique des arbitrages, puisque des différences de traitement trop prononcées entre les petites et les grandes entreprises peuvent dissuader les entreprises de se développer.
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can Emploi – Canada ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Canada, environ 70 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.5 % au Canada, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 55 342 USD par an au Canada, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Canada, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 3.8 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Une aide ciblée sur les travailleurs âgés
L’Initiative ciblée pour les travailleurs âgés (ICTA) a été mise en place en 2007 pour aider les travailleurs âgés à trouver un emploi. Elle cible les chômeurs âgés de 55 à 64 ans qui vivent dans de petites collectivités vulnérables. En mars 2015, l’ICTA avait déjà aidé plus de 35 000 personnes à trouver du travail dans le cadre de plus de 800 projets, au moyen de formations groupées et d’aide au retour à l’emploi. Elle propose en outre une aide au revenu grâce à des allocations versées pendant la période de formation, ainsi que des services d’aide à la recherche d’emploi, de conseil, de préparation aux entretiens et de rédaction de CV. Fort de son succès, ce programme a été étendu en 2014-2017 et les critères d’admission ont été élargis pour toucher un plus grand nombre de personnes. Selon la dernière évaluation disponible, 75 % environ des participants trouvent un emploi à l’issue du programme.
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chl Emploi – Chili ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Chili, près de 56 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE, et correspond à l’un des taux les plus bas de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Au Chili, le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est plus élevé que la moyenne de l’OCDE, qui est de 1.3 %.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. Les Chiliens gagnent en moyenne 26 729 USD par an, un chiffre bien inférieur à la rémunération moyenne dans l’OCDE, qui est de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Chili, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 7 %, un pourcentage plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Former les travailleurs vulnérables
Le gouvernement chilien a lancé le programme MásCapaz pour améliorer les perspectives d’emploi des populations les plus vulnérables, notamment des jeunes et des femmes.
MásCapaz est un programme de formation ambitieux qui cible les travailleurs peu qualifiés et les personnes qui ont des liens ténus avec le marché du travail. Les formations proposées sont intensives et se déroulent sur 200 à 300 heures. Le programme prévoit en outre une hausse de 0.4 % du PIB des dépenses consacrées aux programmes actifs du marché du travail, en vue d’accroître le taux d’activité des femmes et de réduire les disparités hommes-femmes.
Dès la première année de sa mise en application, le volet Formation du programme a attiré 56 000 participants. 50 % d’entre eux avaient moins de 30 ans et 75.8 % faisaient partie des 20 % les plus pauvres de la population. D’ici à 2018, 300 000 femmes et 150 000 jeunes devraient suivre une formation dans le cadre du programme MásCapaz.
Plus d’emplois pour les femmes aux revenus modestes
Au Chili, la participation des femmes qui ont de faibles revenus au marché du travail se heurte à des obstacles économiques, puisque le travail n’est souvent pas rémunéré suffisamment pour compenser le coût de la garde des enfants. Le taux d’activité des femmes reste bas, même s’il est passé de moins de 40 % au début des années 2000 à 55.7 % en 2014.
Pour encourager ces femmes à accepter un emploi rémunéré, le gouvernement du Chili a mis en place un complément de revenu d’activité (Bono al Trabajo de la Mujer) en 2012, dans le cadre du nouveau programme de transferts monétaires baptisé Ingreso Etico Familiar. Cette prestation s’inscrit dans la lignée de celle qui avait été créée avec succès pour les jeunes (Subsidio al Empleo Jóven), et cible les femmes âgées de 25 à 59 ans. On estime à 40 % au moins la proportion des femmes actives les plus vulnérables qui pourraient prétendre à ce complément de revenu d’activité, qui peut atteindre 34 000 CLP (67 USD) par mois, en sus de la prestation perçue au titre d’Ingreso Etico Familiar. Les employeurs perçoivent en outre une subvention afin de soutenir la demande de main-d’œuvre. En 2012, 180 000 femmes environ bénéficiaient de cette prestation.
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Indicateurs
kor Emploi – Corée ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Corée, 66 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est égal à la moyenne de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est proche de 0 % en Corée. Il s’agit du taux le plus bas de l’OCDE, dont la moyenne est de 1.3 %.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 41 960 USD par an en Corée, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Corée, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.9 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Protéger les travailleurs
En Corée, le système d’assurance chômage a largement contribué à atténuer les effets de la crise économique sur l’emploi. Il se compose d’une indemnité de chômage, de programmes axés sur la sécurité de l’emploi et de dispositifs centrés sur les capacités professionnelles. Il va au-delà de l’aide au revenu en proposant des programmes qui aident les employeurs à pérenniser les emplois et à renforcer l’employabilité des travailleurs. Par exemple, le programme dédié à la sécurité de l’emploi favorise la création d’emplois et encourage les employeurs à maintenir leurs effectifs, tandis que le dispositif axé sur les capacités professionnelles repose sur la formation. La subvention versée pour maintenir les emplois a été particulièrement cruciale après la crise, en encourageant les employeurs à rapatrier des emplois et à offrir à leurs salariés des possibilités de formation plutôt qu’à les licencier en période difficile. En 2009, la subvention a été multipliée par dix par rapport à l’année précédente afin d’amortir les effets de la crise et d’empêcher un phénomène de chômage de masse. Il faut faire plus pour inclure les travailleurs non réguliers dans le système d’assurance chômage : la Corée a fait un premier pas dans cette direction en lançant le programme Durunuri, qui réduit la charge représentée par les cotisations au système d’assurance chômage pour les petites entreprises.
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Indicateurs
dnk Emploi – Danemark ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Danemark, 74 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.9 % au Danemark, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 58 430 USD par an au Danemark, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Danemark, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4.5 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Le modèle de la « flexicurité » du marché du travail
Le modèle danois de la flexicurité, conçu en grande partie pendant les années 90, repose sur trois piliers : souplesse de la réglementation relative aux embauches et aux licenciements, taux de remplacement généreux des indemnités de chômage, et dépenses conséquentes allouées aux politiques actives du marché du travail. La flexicurité a pour principal avantage de limiter les risques financiers supportés par les employeurs et les travailleurs. Grâce à ce système très souple, les entreprises peuvent en effet ajuster rapidement leurs effectifs tout au long du cycle économique, et embaucher des jeunes inexpérimentés.
Le modèle de la flexicurité a enregistré de bons résultats pendant les 20 années qui ont précédé la crise mondiale, et les premières évaluations de ses performances depuis la récession montrent aussi des résultats positifs. Parallèlement, la récession n’a entraîné qu’une légère hausse du taux de chômage structurel. Cependant, le système de flexicurité danois est coûteux : en 2013, la part du PIB allouée aux politiques actives du marché du travail au Danemark était la plus élevée de la zone OCDE.
Un service de mentorat pour les entrepreneurs issus de minorités ethniques
Le projet de mentorat destiné aux entrepreneurs appartenant à une minorité ethnique vise à renforcer la confiance dans le système d’aides publiques en proposant un service de conseil fourni des mentors professionnels appartenant au même groupe ethnique que le participant. Le rôle du mentor est d’aider l’entrepreneur à s’adapter aux normes réglementaires et sociales du nouveau pays, et à construire et consolider des réseaux professionnels et sociaux pour les minorités ethniques. Les mentors aident les entrepreneurs à préciser et renforcer leur stratégie commerciale et leurs besoins, avant de les orienter vers une formation ou d’autres services de conseil dans la localité. Une fois l’entreprise lancée, les mentors continuent d’aider les entrepreneurs à mesure qu’ils se développent et que leur affaire prospère.
Au cours des dernières années, près de 100 entrepreneurs appartenant à des minorités ethniques ont bénéficié de ce programme, lequel a remporté le Prix du pionnier dans l’entreprise (European Trailblazer Award) en 2006 et a été sélectionné comme meilleure pratique européenne dans le projet Enspire EU (Entrepreneurial inspiration for the European Union) du programme Interreg IVC en 2011.
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Indicateurs
esp Emploi – Espagne ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Espagne, 62 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 5 % en Espagne, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 37 922 USD par an en Espagne, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Espagne, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 15.8 %, un pourcentage beaucoup plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
L’éco-entrepreneuriat
Le réseau Red Emprendeverde (« Réseau pour l’éco-entrepreneuriat ») est une plateforme en ligne créée par la fondation publique Fundación Biodiversidad. En mettant en contact entrepreneurs, investisseurs et société civile, le réseau aide les entreprises à saisir les possibilités qui s’offrent de lancer des initiatives vertes et de leur apporter un soutien. Du point de vue pratique, il s’agit d’un guichet unique qui propose aux entrepreneurs des services de suivi, d’assistance technique, de formation et plus encore. Il permet aussi d’échanger les meilleures pratiques, de soutenir la création d’entreprises, de recenser les projets prometteurs et de définir précisément ce que recouvrent les termes d’entreprise verte, d’éco-entrepreneur ou encore d’éco-investisseur.
Pour de plus amples informations, consulter le site : www.redemprendeverde.es
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est Emploi – Estonie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Estonie, environ 74 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.2 % en Estonie, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 30 720 USD par an en Estonie, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Estonie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 5.4 %, un pourcentage plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Encourager l’entrepreneuriat chez les jeunes
L’Estonie est confrontée à un double problème : un chômage des jeunes élevé et un manque d’esprit d’entreprise chez les jeunes. Le programme « Be Enterprising! », destiné aux 14-19 ans, vise à promouvoir la créativité, l’esprit d’entreprise, les capacités de résolution de problème et la gestion des risques.
ENTRUM (Programme de développement de l’entrepreneuriat chez les jeunes) propose trois modules de formation à l’entrepreneuriat ainsi que l’accès à un réseau de professionnels composés d’hommes d’affaires et de chefs d’entreprise qui ont réussi.
Plus de 1 100 élèves, dont 60 % de jeunes filles, ont participé au programme ENTRUM en 2010-2012. Les participants ont créé 59 entreprises, dont la plus florissante compte plus de 60 employés. Ce projet a reçu plusieurs prix, notamment le Prix suédois de l'entreprise en 2011.
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Indicateurs
usa Emploi – Etats-Unis ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Aux États-Unis, environ 67 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est légèrement supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.5 % aux États-Unis, un chiffre bien inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 69 392 USD par an aux États-Unis, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE. Il s’agit du salaire le plus élevé dans la zone OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Aux États-Unis, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4.2 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
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Indicateurs
fin Emploi – Finlande ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Finlande, 72 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.2 % en Finlande, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 46 230 USD par an en Finlande, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Finlande, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.2 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
La formation au service de meilleures perspectives professionnelles
La Finlande a énormément investi dans l’enseignement et la formation professionnels (EFP) afin de maintenir et développer les compétences des adultes et ainsi améliorer leurs perspectives professionnelles et leur capacité à s’adapter au marché du travail.
Plus d’1.7 million de Finlandais, soit plus de 60 % de la population adulte, prennent part chaque année à un programme d’éducation pour adultes, tandis que toujours plus d’individus participent à une formation complémentaire à vocation professionnelle ou à une formation en apprentissage. Les adultes de plus de 25 ans sont fortement représentés dans les programmes d’apprentissage, par rapport à d’autres pays d’Europe : environ 80 % des apprentis ont en effet plus de 25 ans et la plupart des stagiaires ont déjà un emploi lorsqu’ils débutent leur apprentissage.
Le gouvernement finlandais consacre une part relativement importante de son budget (40 %) à l’enseignement et à la formation professionnels des adultes. La plupart des programmes sont dispensés à titre gratuit.
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fra Emploi – France ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En France, environ 65 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est légèrement inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 2.9 % en France, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 45 581 USD par an en France, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En France, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 3.1 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Développer les compétences vertes
Souvent, on considère que le manque de compétences spécialisées est l’un des maillons faibles de la chaîne de mise en œuvre des nouveaux codes de construction. C’est pourquoi il faut former les travailleurs du secteur lorsque l’on introduit de nouveaux codes de construction visant à renforcer l’efficacité énergétique des bâtiments résidentiels et commerciaux. La France a créé un système de certification qui attribue un label spécifique aux entreprises qui ont formé leur personnel à l’efficacité énergétique. Les entreprises qui s’engagent à respecter ces obligations se voient ainsi décerner la mention « Reconnu Garant de l’Environnement » (RGE). Des campagnes de sensibilisation incitent les consommateurs à faire appel à des professionnels qualifiés certifiés RGE. De leur côté, les entreprises sont incitées à obtenir cette certification car l’État ne fournit une aide financière pour la rénovation de bâtiments que si l’entreprise qui réalise les travaux est certifiée RGE.
FEEBAT est un autre programme de formation professionnelle continue, financé en partie par Électricité de France (EDF) dans le cadre des certificats blancs. Entre 2008 et 2012, 48 000 professionnels du bâtiment ont été formés par le FEEBAT, qui a été prolongé jusqu’en 2017.
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grc Emploi – Grèce ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Grèce, environ 56 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE et le taux les plus bas parmi les pays membres.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 10.8 % en Grèce, un chiffre bien supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE. Il s’agit du taux le plus élevé parmi les pays membres.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 27 207 USD par an en Grèce, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Grèce, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 21.7 %, un pourcentage bien plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
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Indicateurs
hun Emploi – Hongrie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Hongrie, 70 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est en supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.2 % en Hongrie, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 25 409 USD par an en Hongrie, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Hongrie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 3.8 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
La loi sur la protection de l'emploi à l’appui de la croissance de l’emploi
En Hongrie, les pouvoirs publics ont adopté plusieurs mesures dans le cadre des politiques actives du marché du travail, afin d’améliorer l’employabilité de certaines catégories de demandeurs d’emploi. Ainsi, la loi de 2013 sur la protection de l’emploi vise, dans une large mesure, à accroître la demande de travailleurs entretenant des liens ténus avec le marché du travail, comme les personnes âgées de moins de 25 ans ou de plus de 55 ans, les chômeurs de longue durée et les mères d’enfants en bas âge qui reprennent le travail.
La loi sur la protection de l’emploi a sensiblement baissé les cotisations de sécurité sociale versées par les employeurs, et a contribué à l’augmentation du taux d’emploi des 55-64 ans observé depuis la crise. Dans le cas d’un salaire brut d’un montant maximum de 100 000 HUF, le taux global de cotisation de 28.5 % que l’employeur doit verser au régime est ramené à 14 % lorsque l’entreprise emploie des personnes âgées de moins de 25 ans, de plus de 55 ans, ou des travailleurs non qualifiés. Les entreprises sont en outre totalement exonérées de ces cotisations pendant les deux années suivant l’embauche de jeunes en début de carrière (âgés de moins de 25 ans, dotés d’une expérience professionnelle maximum de 180 jours), de chômeurs de longue durée (inscrits au chômage depuis plus de six mois) et de mères d’enfants en bas âge.
Parmi les autres initiatives figure notamment le programme « Parcours vers l’emploi », un dispositif de grande ampleur qui vise à améliorer l’employabilité des demandeurs d’emploi au moyen de programmes sur mesure, articulés autour de services dédiés au marché du travail, de subventions et de formations. Le système de Garantie pour la jeunesse a pour objectif de veiller à ce que les jeunes de 16 à 24 ans déscolarisés, sans emploi et ne suivant aucune formation bénéficient d’un soutien pour améliorer leurs chances sur le marché primaire de l’emploi. Ce soutien repose sur l’aide à la création d’entreprise, l’apprentissage et les stages en entreprise. Par ailleurs, le programme d’incitation à la création d’entreprise vise à aider les jeunes à lancer leur propre activité ; les jeunes qui terminent leur formation et dont le projet d’entreprise est validé peuvent ainsi demander une bourse d’un montant maximum de 10 000 EUR pour couvrir leurs coûts initiaux.
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Indicateurs
irl Emploi – Irlande ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Irlande, environ 68 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement d’environ 1.2 % en Irlande, un chiffre légèrement inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 49 474 USD par an en Irlande, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Irlande, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.6 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Développer les compétences
L’Irlande encourage le développement de compétences de haut niveau au moyen de programmes de formation spécifiques à un secteur.
Skillnets est le plus gros organisme de soutien à la formation en entreprise d’Irlande. Sa mission consiste à promouvoir et à faciliter la formation en entreprise et le perfectionnement des compétences par les PME. Skillnets est également à la tête d’un programme national qui pilote les réseaux de formation en PME à l’échelon régional et sectoriel. Ces plans de formation sont adaptés aux besoins de certains personnels. En 2010, Skillnets a été étendu afin de dispenser des formations aux demandeurs d’emploi, par le biais de divers programmes comme le Jobseeker Support Programme, qui s’occupe également de placement. En 2011, Skillnets comptait 70 réseaux opérationnels, dont 30 basés à Dublin, et avait formé plus de 40 000 personnes.
Le programme Momentum propose des formations à haut niveau, comme les dispositifs Action Plan for Jobs et Pathways to Work. La deuxième phase du programme Momentum a été lancée en 2014 afin d’offrir jusqu’à 6 000 places de formation aux chômeurs de longue durée, et remédier ainsi aux pénuries de compétences.
Springboard+ 2015, issu de la fusion des programmes Springboard et ICT Skills Conversion, a pour objectif de fournir des places de formation aux demandeurs d’emploi. Il fournira ainsi plus de 9 000 places dans des formations gratuites à temps partiel et à temps plein axées sur la reconversion et le perfectionnement des compétences. Sur la seule année 2014, le programme Springboard a fourni plus de 5 700 places dans 212 formations, y compris dans des formations de reconversion dans les TIC.
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isl Emploi – Islande ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Islande, près de 78 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est bien supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE. Il s’agit de l’un des taux les plus élevés de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.7 % en Islande, un taux bien inférieur à la moyenne OCDE, qui est de 1.3 %.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. Les Islandais gagnent en moyenne 67 488 USD par an, un chiffre plus élevé que la rémunération moyenne dans l’OCDE, de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Islande, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 1 %, un pourcentage bien moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %. Il s’agit du taux le plus bas de l’OCDE.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Égalité de statut et égalité des droits des hommes et des femmes au travail
L'Islande se situe régulièrement en tête des classements concernant le taux d’activité des femmes et dans l’indicateur mondial des inégalités entre les sexes (Global Gender Gap Index). Le pays se situe en outre dans les dix premiers pays pour ce qui est de la participation et des possibilités économiques.
Les entreprises publiques, les sociétés anonymes comptant au moins 50 salariés et les conseils d'administration de plus de trois membres sont tenus de respecter un quota de 40 % au moins pour chaque sexe. Les entreprises de plus petite taille (25 salariés ou plus) doivent divulguer la composition par sexe de leurs effectifs, y compris au niveau des cadres. Même si l'Islande est parvenue à réduire l’écart entre hommes et femmes, qui s’élevait à 5.1 % environ en 2011-13, les pouvoirs publics sont déterminés à faire mieux encore.
Une des initiatives adoptées consiste à veiller à ce que tous les emplois de valeur égale soient rémunérés de la même façon. Le gouvernement prévoit de rendre obligatoire pour toutes les entreprises de 25 salariés ou plus l'établissement d'un système de certification de l'égalité de rémunération entre les sexes. Dans la mesure où ce type d’obligation pourrait peser sur les petites entreprises, le gouvernement envisage de déployer ce dispositif progressivement et d’assurer un suivi régulier afin d’apporter les modifications nécessaires dès que possible. Il s’agit d’un exemple probant de pratique exemplaire dans la poursuite des efforts consentis pour promouvoir et favoriser l’égalité entre hommes et femmes au travail.
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Indicateurs
isr Emploi – Israël ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Israël, 67 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est légèrement supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.2 % en Israël, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 39 322 USD par an en Israël, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Israël, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4.6 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
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ita Emploi – Italie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Italie, 58 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 4.8 % en Italie, un chiffre bien supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 37 769 USD par an en Italie, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Italie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 8.6 %, un pourcentage plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Développer les compétences et l’innovation
L’Italie a lancé son Plan national Industrie 4.0 en 2016 en vue de développer les compétences et de stimuler l’innovation dans les nouvelles technologies sur la période 2017-2020. Il propose un éventail d’incitations visant à dynamiser l’investissement, et prévoit une augmentation des investissements publics au service d’une montée en puissance notable de l’ultra-haut débit. Ces investissements englobent notamment un taux d’hyper-amortissement, un taux de super-amortissement, des crédits d’impôts en faveur de la R-D, et des crédits d’impôts en faveur des jeunes pousses et des PME innovantes. Pour renforcer les compétences technologiques de la main-d’œuvre, le Plan prévoit le déploiement d’un programme national pour l’école numérique, l’accroissement du nombre d’élèves et de chercheurs dans les disciplines techniques et scientifiques, et la création de centres d’expertise et de plates-formes de l’innovation numérique afin de favoriser le partage de connaissances entre les universités, le secteur public et le secteur privé et faciliter ainsi le transfert de technologie, et de renforcer les compétences dans les nouvelles technologies.
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jpn Emploi – Japon ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Japon, plus de 77 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.8 % au Japon, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 38 515 USD par an au Japon, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Japon, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.7 %, un pourcentage bien moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
S’adresser aux jeunes demandeurs d’emploi
Au Japon, les diplômés d’études secondaires reçoivent généralement une formation professionnelle. Leur placement est organisée par les établissements scolaires et par le service public de l’emploi, Hello Work. Le programme fut un véritable succès, avec un taux d’emploi de 98% ã la fin de l’année scolaire 2015-2016 pour ceux qui s’étaient engagés dans le programme.
Les Job Cafés offrent aux jeunes un guichet unique de services pour l’emploi. Certains de ces cafés accueillent des espaces Hello Work qui proposent des services de placement. Les personnes intéressées peuvent également avoir accès à services de mise en relation, des séminaires d’information, une aide individuelle à la rédaction de CV, des formations aux techniques d’entretien, et des tests d’aptitude. Cette aide est particulièrement utile pour les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur qui ne sont pas éligibles au programme de formation professionnelle.
Les Job Cafés sont gérés par les préfectures japonaises en coopération avec les entreprises et les établissements scolaires à l’échelon local. Les clients peuvent ainsi bénéficier de conseils adaptés aux besoins de la région et des secteurs d’activité locaux en termes de compétences techniques. En 2014, on comptait 110 cafés et 39 espaces Hello Work opérationnels dans 46 préfectures, qui accueillaient près de 1.68 million de jeunes chaque année.
Soutenir le développement des compétences et l’emploi
Le Centre d’aide à la formation professionnelle de Chiba – Centre polytechnique de Chiba (PPC) est un établissement public d’enseignement professionnel qui a pour mission de protéger l’emploi des travailleurs âgés, de promouvoir l’indépendance professionnelle des personnes souffrant de handicaps, et de proposer des services et des programmes de formation. Le PCC intervient dans quatre domaines : cours de formation pour les demandeurs d’emploi (disponibles pour tous les chômeurs) ; cours de formation pour les travailleurs ; conseil et aide aux employeurs ; et formations pour les demandeurs d’emploi qui ne bénéficient pas de l’assurance chômage. En 2012, le taux d’emploi des 715 chômeurs qui avaient suivi une formation s’élevait à 90.3 % ; 1 003 travailleurs étaient inscrits aux cours de perfectionnement des compétences et 343 formations avaient été dispensées à 7 902 demandeurs d’emploi ne bénéficiant pas de l’assurance chômage. En moyenne, 75 % des participants trouvent un emploi permanent, car leur formation est adaptée aux besoins recensés à l’échelon local.
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lux Emploi – Luxembourg ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Luxembourg, près de 67 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est légèrement supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.7 % au Luxembourg, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 65 854 USD par an au Luxembourg, un chiffre supérieur à la moyenne de 49 165 USD dans l’OCDE, et l’un des taux les plus élevés de l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Luxembourg, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.2 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Encourager les jeunes à exercer une activité professionnelle indépendante
L’initiative publique-privée destinée aux jeunes entrepreneurs du Luxembourg (Jonk Entrepreneuren Luxembourg) fait la promotion de l’entreprenariat et du travail indépendant en tant que deux alternatives à l’emploi salarié pour les jeunes. L’organisation à but non lucratif propose aux étudiants des formations adaptées et axées sur la pratique, lesquelles sont financées par le secteur privé et les principales chambres professionnelles du Luxembourg.
Le projet va à la rencontre des élèves dans leurs établissements d’enseignement, et lors de manifestations annuelles et de salons de l’entreprenariat. Par exemple, la manifestation de 2013 a attiré 400 élèves de 13 établissements. Le projet est également parvenu à mieux faire connaître l’entreprenariat des jeunes grâce à une vaste couverture médiatique.
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mex Emploi – Mexique ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Mexique, environ 59 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est inférieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement près de 0.1 % au Mexique, un chiffre bien inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 16 230 USD par an au Mexique, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE. Il s’agit du taux le plus bas de l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Mexique, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Réformer pour améliorer le fonctionnement du marché du travail
En 2012, le gouvernement mexicain a fait un grand pas en avant dans l’amélioration du fonctionnement du marché du travail en adoptant une nouvelle réforme qui assouplit la législation sur la protection de l’emploi, qui tendait à limiter l’emploi formel, surtout celui des femmes. Cette loi devrait donner un coup de fouet à la création d’emplois formels et à la productivité, en permettant aux employeurs d’ajuster leurs effectifs à moindre coût et avec moins d’incertitudes sur le plan juridique. Si les effets de cette nouvelle loi demeurent incertains, l'OCDE estime que ces réformes pourraient avoir un impact positif de 0.1 point de pourcentage ou plus sur la croissance potentielle. Depuis son adoption, l’emploi formel a progressé plus rapidement que l’emploi global et la croissance du PIB réunis.
Pour encourager la diminution de l’emploi informel, le gouvernement a lancé en 2014 une initiative encourageant chacun à se mettre en règle, qui regroupe les avantages et les moyens de différents programmes et qui devrait faciliter l’accès au marché du travail et renforcer le respect du droit du travail. Un nouveau programme de promotion de l’emploi formel proposera des services de formation et de placement.
Un nouveau régime fiscal a été mis en place pour les microentreprises et les petites entreprises, afin de les inciter à régulariser leur activité en leur permettant d’être pleinement intégrées au régime fiscal général au bout de dix ans. Il semble que ce nouveau régime fiscal, conjugué aux efforts menés en faveur de l’emploi formel, ait des retombées positives. 4.3 millions d’entreprises environ y ont déjà adhéré, contre 3.5 millions dans le cadre du régime précédent.
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nor Emploi – Norvège ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Norvège, environ 75 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est bien supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement près de 0.9 % en Norvège, un chiffre largement inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 55 780 USD par an en Norvège, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Norvège, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.8 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Attirer les travailleurs migrants dans les zones rurales
En Norvège, les régions rencontrent des difficultés pour mettre en place des infrastructures pour les expatriés. Le comté côtier de Møre et Romsdal illustre bien cette situation : la plus grande ville, Ålesund, compte 45 000 habitants et est spécialisée dans la construction navale pour l’industrie pétrolière. Les entreprises locales font état d’une pénurie continue d’ingénieurs et d’autres travailleurs diplômés de l’enseignement supérieur, et cherchent donc à attirer de nouvelles familles.
Le style de vie rural en Norvège convient à certains travailleurs migrants, mais pas à d’autres. Les départs au cours de la première année sont nombreux. Le comté indique que si les travailleurs migrants ou leurs familles restent plus d’un an, ils sont susceptibles de rester plus longtemps. Les travailleuses migrantes arrivent seules en général, et s’installent si elles trouvent un partenaire. Quant aux hommes, ils ont tendance à venir avec leurs familles ; une fois les enfants scolarisés, ils sont nombreux à rester.
La Chambre de commerce d’Ålesund a créé, en partenariat avec les entreprises régionales et les autorités locales, une école internationale ayant le statut de fondation à but non lucratif. L’État norvégien couvrant les frais de l’établissement à hauteur de 85 %, le coût de la scolarité dans cet établissement ne correspond qu’à une partie de celui des écoles privées à Oslo. Le comté a également encouragé les services municipaux des villes rurales à anticiper davantage l’arrivée des nouveaux travailleurs migrants, en allant leur souhaiter la bienvenue à leur arrivée, en déterminant leurs besoins et en leur fournissant l’aide nécessaire. Pour les partenaires qui arrivent sans emploi, les entreprises locales s’efforcent de recenser les possibilités d’embauche.
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nzl Emploi – Nouvelle-Zélande ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Nouvelle-Zélande, environ 77 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est bien supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.4 % en Nouvelle-Zélande, un chiffre bien inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. Les Néo-Zélandais gagnent en moyenne 45 269 USD par an, contre une moyenne de 49 165 USD à l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Nouvelle-Zélande, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4.5 %, un pourcentage inférieur à la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Améliorer l’image de la Nouvelle-Zélande à l’étranger
La création d’une base de données en ligne dans laquelle les candidats à l’immigration en Nouvelle-Zélande peuvent manifester leur intérêt a été une initiative importante. En 2014, plus de 200 000 personnes se sont inscrites dans cette base de données intégrée au portail plus vaste « New Zealand Now » (www.newzealandnow.govt.nz), lequel fournit de nombreuses informations pour travailler, vivre et étudier dans le pays. Les candidats à l’immigration qui sont inscrits dans la base de données reçoivent aussi d’autres informations sur la Nouvelle-Zélande, notamment sur les salons de l’emploi qui sont régulièrement organisés par les services d’immigration (Immigration New Zealand) dans les principaux pays d’origine. Les employeurs inscrits ont accès à ce vivier de candidats via l’interface « Skill Finder ». Ce service gratuit leur permet de rechercher des candidats par métier, niveau d’études, lieu de résidence et années d’expérience. Ils enregistrent ensuite leurs vacances de poste et soumettent une demande à l’équipe commerciale d’Immigration New Zealand qui s’emploie dans les jours ouvrables qui suivent à établir avec eux une demande officielle, laquelle sera adressée aux candidats compétents qu’ils auront recensés dans la base de données. Les destinataires peuvent alors postuler aux offres en envoyant leur CV directement aux employeurs via un compte spécial en ligne créé à cette fin. Ce dispositif ne concerne que les professions qualifiées ou en tension.
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nld Emploi – Pays-Bas ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Aux Pays-Bas, environ 78 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE, et il s’agit de l’un des taux les plus élevés de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement d’environ 0.9 % aux Pays-Bas, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 58 828 USD par an aux Pays-Bas, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Aux Pays-Bas, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.5 %, un pourcentage bien plus bas que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Aider les élèves handicapés à trouver du travail
Le projet « Boris vous aide à trouver du travail » (Boris brengt je naar een baan) aide les établissements d’enseignement secondaire à mieux soutenir les élèves handicapés dans leur recherche d’emploi. En collaboration avec les établissements d’enseignement professionnel et les entreprises homologuées, la démarche de l’apprentissage pratique a été adaptée aux élèves handicapés dans l’enseignement secondaire spécialisé.
Environ un tiers des 355 élèves ont achevé le programme ; 51 % d’entre eux ont trouvé un emploi, 31 % ont poursuivi leurs études, et le reste du groupe s’est orienté vers un emploi protégé ou des activités diurnes. Les établissements participants ont estimé que le projet les aidait à améliorer la qualité des parcours d’apprentissage pratique, à avoir un meilleur aperçu des offres d’emploi au niveau régional et à étendre leur réseau pour les stages en entreprise.
Le projet « Mon mentor, le partenaire de ma recherche d’emploi » (Met de coach naar de job) aide les élèves handicapés pendant leur stage en entreprise lors de leur dernière année d’études et au moment de leur passage dans la vie active. Des mentors ont été déployés dans les établissements d’enseignement secondaire spécialisé pour aider les élèves à trouver une entreprise appropriée pour leur stage et pour les orienter pendant leur expérience pratique. Les élèves qui ont bénéficié des services d’un mentor ont rencontré moins de difficultés pendant leur stage professionnel et ont plus souvent décroché un emploi ordinaire à la fin de leurs études (50 % par rapport à 33 % des élèves n’ayant pas reçu l’aide d’un mentor).
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pol Emploi – Pologne ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Pologne, 69 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.6 % en Pologne, un chiffre inférieur à la moyenne de l’OCDE de 1.3 %.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 32 527 USD par an en Pologne, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Pologne, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 5 %, ce qui correspond presque à la moyenne de l’OCDE, de 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Stimuler l’emploi dans le secteur des entreprises sociales
Le fonds TISE est un programme pilote qui accorde des prêts aux micro- et petites entreprises sociales et leur fournit des services de conseil gratuits. Grâce à ce dispositif, ces entreprises ont accès aux financements dont elles ont besoin et peuvent promouvoir et développer l’entrepreneuriat social. Ce programme contribue à lutter contre le chômage et l’exclusion sociale, tout en mettant en œuvre et à l’épreuve des modèles de financement remboursables conçus pour les entreprises de l’économie sociale.
Jusqu’à présent, il a dépassé les prévisions en octroyant 431 prêts à 371 entreprises sociales, en contribuant à la création de 436 emplois (dont plus de la moitié occupés par des femmes), et en assurant la pérennité de plus de 1 400 emplois à long terme. Initialement, il devait se dérouler de 2013 à 2020 et contribuer à la création de 50 nouveaux emplois. Néanmoins, face à son succès, il a été décidé de le prolonger jusqu’à 2021 (phases d’investissement, de remboursement et de suivi incluses). Il s’agit du premier dispositif national financé sur fonds publics destiné à soutenir les entreprises sociales, qui se caractérise par des conditions tarifaires préférentielles, une répartition et une distribution régionales des fonds, des conditions tarifaires indexées sur l’impact social, et des services de conseil gratuits. Le fonds TISE est un exemple de bonne pratique et certains pays ont déjà fait part de leur volonté d’emboîter le pas de la Pologne.
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prt Emploi – Portugal ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Portugal, environ 69 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré, un chiffre supérieur à la moyenne de l’OCDE, de 66 %.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 2.3 % au Portugal, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 28 410 USD par an au Portugal, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Portugal, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 8.1 %, un pourcentage bien plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Des emplois au service de l’innovation et de la productivité
L’économie du Portugal a ralenti en 2011-2013, au lendemain de la crise financière mondiale. Néanmoins, le PIB devrait augmenter en valeur réelle en 2014. Le gouvernement a pris d’importantes mesures pour rétablir la viabilité des finances publiques et relancer la croissance. Les réformes en cours visent à optimiser la réglementation des marchés du travail et des produits, à améliorer l’enseignement et les compétences, et à encourager l’innovation.
L’innovation est aussi un moteur de la productivité. Au Portugal, l’environnement économique est très favorable à l’entrepreneuriat, même si l’offre de capital-risque se situe à la médiane des pays de l'OCDE. Différentes initiatives soutiennent l’innovation des entreprises, l’entrepreneuriat et les PME. +Innovation +Industry est un nouveau programme d’investissement ciblé sur les petites entreprises et les entrepreneurs dans les secteurs d’activité traditionnels. Il vise à promouvoir l’essaimage et la capacité d’innovation en donnant accès à un fonds de capital-risque, à des accélérateurs d’entreprises pour l’internationalisation et à des services de conseil pour le développement commercial. Le SIFIDE propose des crédits d’impôts fixes et en accroissement pour la R-D, et soutient l’embauche de titulaires de doctorats dans les entreprises. En 2013, le gouvernement a lancé le programme INOVA, qui vise à créer un environnement favorable à l’innovation et à la créativité dans les établissements d’enseignement primaire et secondaire. Ce programme a pour objectif de cultiver les capacités d’analyse des jeunes et les mentalités qui permettent de détecter les opportunités commerciales, de prendre des risques et de faire face à la concurrence.
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gbr Emploi – Royaume-Uni ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. Au Royaume-Uni, 75 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.9 % au Royaume-Uni, un chiffre moins élevé que la moyenne de l’OCDE de 1.3 %.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 47 147 USD par an au Royaume-Uni, un chiffre inférieur à la moyenne de la zone OCDE, qui est de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. Au Royaume-Uni, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 3.3 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Aider les élèves vulnérables à passer de l’éducation à l’emploi
Le Partenariat de Glasgow pour l’emploi des jeunes (Youth Employment Partnership) aide les jeunes considérés comme étant en danger pendant l’avant-dernière année de leur scolarité obligatoire. Dans le cadre du programme, les jeunes bénéficient d’un accompagnement individuel. Avec leur mentor, ils définissent des objectifs et établissent un programme de participation pour atteindre un but positif. Ils risquent au début de n’avancer que pas à pas, mais l’objectif est de les faire progresser dans leurs études, leur emploi ou leur formation sur une période de 24 semaines. Les jeunes reçoivent une allocation de 30 GBP par semaine pour leur participation au programme et l’accomplissement des étapes fixées.
Le retour d’informations et les résultats de cette initiative à Glasgow ont été encourageants, le nombre de participants et le taux de réussite étant supérieurs à ceux dans d’autres régions –48 % des 601 participants de la ville ont obtenu des résultats positifs.
Partenariats pour la création d’emplois
Les instituts de formation de Nottingham collaborent avec les employeurs locaux pour mettre les compétences en adéquation avec la demande. L’établissement d’enseignement Central College Nottingham et l’entreprise Kia Motors UK ont mis en place un partenariat de longue durée pour former les futurs salariés du réseau national de concessionnaires agréés. Sur toute la durée du partenariat, plus de 700 apprentis seront formés, pour une valeur estimée à plus de 10 millions GBP pour l’économie locale.
West Nottinghamshire a collaboré avec des employeurs dans le secteur du carton ondulé (qui sont confrontés à une main-d’œuvre vieillissante) pour définir un programme de formation flexible. Le dispositif intègre les programmes de formation interne des entreprises dans des apprentissages sanctionnés par un certificat technique, lequel a été soumis pour approbation à l’organisme compétent pour le délivrer. Le programme pilote a abouti à l’adoption par une entreprise locale de ce cadre d’apprentissage dans sa stratégie de développement de la main-d’œuvre, avec l’admission de 10 à 15 nouveaux apprentis par an.
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Indicateurs
rus Emploi – Russie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Russie, 70 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.1 % en Russie, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne par an en Russie est inférieure à celle des pays de l’OCDE, qui est de 49 165 USD.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Russie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est inférieure à la moyenne de l’OCDE, qui correspond à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
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svk Emploi – République slovaque ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En République slovaque, environ 68 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 3 % en République slovaque, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 23 619 USD par an en République slovaque, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En République slovaque, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 8.8 %, un pourcentage bien plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Créer des chefs d’entreprise
La République slovaque fait partie des États membres de l’UE où le taux de chômage – notamment des jeunes et des femmes – est les plus élevé, malgré la reprise actuelle du PIB. Le projet « Services de formation et de conseil aux créateurs d’entreprise potentiels » propose des services de formation et de conseil aux chômeurs, aux jeunes et aux femmes pendant et après leur congé maternité, ainsi qu’aux seniors et aux immigrés, en vue de les aider à élaborer leurs plans d’entreprise.
Ce programme vise à faire mieux connaître les possibilités de travail indépendant à travers des activités de formation, tout en apportant des conseils à ceux qui souhaitent se lancer. Les demandes sont évaluées par des conseillers spécialisés dans l’entrepreneuriat, qui proposent aux futurs chefs d’entreprise potentiels des formations gratuites et des services de conseil professionnels.
Près de 10 000 personnes ont participé à des cours de formation depuis leur lancement en 2002, et en 2011, 73 % des participants avaient créé leur entreprise.
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svn Emploi – Slovénie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Slovénie, environ 71 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré, un chiffre plus élevé que la moyenne de l’OCDE de 66 %.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.9 % en Slovénie, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 41 445 USD par an en Slovénie, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Slovénie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 5.9 %, un pourcentage plus élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Améliorer les services de l’emploi
Les agences locales du service public de l’emploi (SPE) fournissent aux jeunes des conseils en matière d’orientation professionnelle, conformément au dispositif européen de Garantie pour la jeunesse. Pour améliorer les services fournis, 68 conseillers nouveaux et spécialement formés à cette fin ont été recrutés entre 2014 et 2015 afin d’aider les conseillers existants à améliorer la gestion des dossiers et accorder plus de temps à chaque client. Les évaluations réalisées montrent que l’augmentation des effectifs et leur formation spécialisée ont eu pour effet d’améliorer sensiblement la qualité des services dispensés par le SPE. Les clients se déclarent globalement plus satisfaits des services du SPE, notamment les jeunes. Les résultats montrent également que ces mesures ont amélioré les chances qu’ont les jeunes de trouver un emploi. Le SPE déploie un autre projet en 2016-2022, ciblé sur les chômeurs de longue durée, et accroît pour ce faire les effectifs spécialement formés pour travailler avec les groupes défavorisés.
Entre 2007 et 2013, le SPE a également soutenu un programme dédié au travail indépendant, avec l’aide du Fonds social européen. Ce programme a offert à 23 316 personnes des subventions afin de créer leur propre activité, en leur fournissant notamment une formation aux compétences entrepreneuriales de base, ainsi qu’à l’élaboration et à la présentation d’un projet d’entreprise. Ces projets ont ensuite été évalués afin de déterminer leur viabilité. Le programme a été couronné de succès, puisque plus de 94 % des entreprises créées étaient encore en activité après un an et 85 % après deux ans. 19 % environ des travailleurs indépendants sont devenus employeurs eux-mêmes, créant 2 600 emplois à l’échelon national. Le programme a aussi atteint son objectif en termes de parité, avec un taux de participation de 41 % pour les femmes.
L’entrepreneuriat et le monde des affaires
Pour réduire le chômage des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, le gouvernement slovène a créé un programme intégré dédié à l’entrepreneuriat afin de les aider à s’insérer sur le marché du travail.
Le projet vise à aider les personnes de moins de 35 ans ayant un haut niveau d’études à lancer leur entreprise ou intégrer le marché du travail. Les participants sont engagés comme fonctionnaires et perçoivent un salaire mensuel de 798 euros pendant 4 mois. Ils ne travaillent pas, mais reçoivent plutôt une formation à l’entrepreneuriat ainsi que des services individualisés de coaching, de mentorat et de conseil en entreprise fournis par des agences de développement régional, qui les accompagnent dans la création de leur entreprise. Les formations et l’accompagnement individualisé sont dispensés par le personnel de ces agences et des consultants en entreprise. Les participants ont en outre accès à des services de conseil pendant un an suivant la création de leur entreprise. Le projet a été mis en œuvre en trois étapes : un projet pilote régional et deux projets nationaux dans toutes les régions. Les données de suivi révèlent que 134 des participants (soit 56 %) au premier projet national (en 2013) ont lancé leur activité ou ont trouvé un emploi.
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che Emploi – Suisse ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Suisse, environ 80 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est bien supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE et constitue l’un des taux les plus élevés parmi les pays membres.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1.7 % en Suisse, un chiffre supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 64 824 USD par an en Suisse, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Suisse, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est bien moins élevée que la moyenne de l’OCDE, qui correspond à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Enseignement et formation professionnels
La Suisse a fait de l’enseignement et la formation professionnels une priorité pour les élèves du deuxième cycle du secondaire. Plus de 65 % des élèves suisses sont inscrits dans des programmes d’enseignement pré-professionnel et professionnel, contre 44 % en moyenne dans l'OCDE. 93 % environ de ces élèves participent à des programmes de formation professionnelle en alternance. Ce sont la Confédération, les cantons et les entreprises qui financent l’enseignement et la formation professionnels.
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Indicateurs
swe Emploi – Suède ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Suède, près de 75 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Ce chiffre est supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 1 % en Suède, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 47 020 USD par an en Suède, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Suède, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 4.4 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Soutenir les travailleurs licenciés en période de crise
En Suède, les Conseils de sécurité de l'emploi travaillent avec les services publics de l’emploi pour fournir aux travailleurs dont l’emploi a été supprimé des services réguliers et sur mesure. Créés dans les années 70 à la suite de licenciements massifs, ces conseils continuent d’apporter leur concours aux travailleurs en période de crise et sont considérés comme un exemple de pratique optimale. Ils reposent sur des accords collectifs entre les partenaires sociaux et participent activement aux restructurations, tout en prodiguant des conseils aux employeurs et aux organisations syndicales. Ils offrent aux travailleurs des services de transition et de conseil lorsque leur emploi est supprimé. Les risques et les coûts de la restructuration du marché du travail sont partagés entre toutes ses parties prenantes. 80 % environ des travailleurs qui bénéficient de l’aide des Conseils de sécurité de l’emploi trouvent une solution dans un délai de sept mois, soit en retrouvant un emploi soit en suivant une formation pour se reconvertir. Ces performances se sont vérifiées même pendant la crise financière de 2008-2010, pendant laquelle ils ont aidé un grand nombre de travailleurs à retrouver un emploi.
Soutenir les demandeurs d’emploi
Jobbtorg est un service d’emploi dédié aux jeunes, aux immigrés et aux autres personnes qui ne peuvent prétendre aux allocations de chômage. Ce service est géré par les administrations locales en association avec le service public de l’emploi suédois (Arbetsförmedlingen). Une fois inscrits, les demandeurs d’emploi bénéficient de services d’accompagnement, de mise en relation et d’orientation. À Stockholm, les services Jobbtorg aident chaque année environ 3 000 participants sur 6 000 à trouver un emploi ou une formation.
Jobbstart est un service connexe qui propose des formations dans un contexte professionnel. Ce programme s’articule autour d’une formation théorique de trois semaines, suivie d’une période de formation en entreprise de trois mois. Une fois la formation terminée, les stagiaires peuvent être embauchés pour une année complète. Chaque année, 50 participants sur 100 environ sont embauchés par l’intermédiaire de ce programme. Les participants bénéficient également de cours, d’expériences professionnelles et d’autres formations en entreprise. Les personnes touchées par des problèmes sociaux, les toxicomanes ou celles qui ont déjà été condamnées peuvent bénéficier de services spécialisés pour les aider à s’insérer sur le marché du travail.
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cze Emploi – Tchéquie ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Tchéquie, 74 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré, un chiffre supérieur à la moyenne de 66 % de l’OCDE.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 0.6 % en Tchéquie, un chiffre inférieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
Le salaire et autres prestations en espèces qui vont de pair avec l’emploi sont un aspect majeur de la qualité d’un emploi. La rémunération moyenne est de 29 885 USD par an en Tchéquie, contre 49 165 USD en moyenne dans l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Tchéquie, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 2.3 %, un pourcentage moins élevé que la moyenne de l’OCDE, égale à 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour une vie meilleure
Un marché du travail plus souple pour gagner en compétitivité
La Stratégie tchèque pour la compétitivité est un programme récent de réformes structurelles visant toutes à hisser la Tchéquie dans le groupe des 20 pays dont l’économie est la plus compétitive d’ici à 2020. Sur le front du travail, elle met en œuvre de nombreuses recommandations récentes de l’OCDE et améliore le nouveau Code du travail qui a développé la flexibilité de l’emploi en ouvrant la voie à l’adaptation des horaires de travail.
La Stratégie pour la compétitivité accroît fortement l’offre d’emplois à temps partiel. D’autres mesures favorisent l’intégration de catégories telles que les plus de 55 ans et les femmes ayant des enfants en bas âge. Parmi les solutions concrètes offertes aux jeunes mères de famille, on peut citer l’amélioration du niveau de qualité et la création de places supplémentaires en maternelle.
Cette Stratégie pour la compétitivité répond aux défis à moyen terme auxquels est confronté le pays, ce qui est tout à fait méritoire.
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tur Emploi – Türkiye ouvrir
Tendances clés
Avoir un emploi procure de nombreux avantages : l’emploi constitue une source de revenus, améliore l’insertion sociale, permet de satisfaire ses propres aspirations, de gagner confiance en soi et de développer ses qualifications et compétences. En Türkiye, environ 48 % de la population en âge de travailler (15-64 ans) occupe un emploi rémunéré. Il s’agit du taux le plus bas de l’OCDE, dont la moyenne est de 66 %.
Les chômeurs sont définis comme des personnes actuellement sans emploi mais souhaitant travailler et recherchant activement un emploi. Le chômage de longue durée peut avoir des effets délétères sur le sentiment de bien-être et sur l’amour-propre, et il peut entraîner une perte de compétences et réduire encore l’aptitude à l’emploi. Le pourcentage de la main-d’œuvre au chômage depuis un an ou plus est actuellement de 3.3 % en Türkiye, un chiffre bien supérieur à la moyenne de 1.3 % de l’OCDE.
La sécurité de l’emploi constitue un autre facteur essentiel de sa qualité. Elle est exprimée en termes de perte attendue des revenus lorsqu’un individu perd son emploi. Cela inclut la probabilité de se retrouver au chômage, la durée du chômage et l'aide financière attendue du gouvernement. Les salariés confrontés à un risque élevé de perdre leur emploi sont plus vulnérables, notamment dans les pays où le système de protection sociale est moins développé. En Türkiye, la perte de revenus attendue pour les salariés s’ils perdent leur emploi est de 13 %. Il s’agit de l’un des pourcentages les plus élevés de l’OCDE, dont la moyenne est de 5.1 %.
Pour plus d’information sur les valeurs estimées et les années de références, consultez la FAQ et la base de données BLI.
Des politiques meilleures pour des vies meilleures
Participation des femmes dans le marché du travail
Les aides publiques à l’embauche des femmes et des jeunes, associées aux besoins accrus des familles de s’assurer un second revenu dans le ménage dans le contexte de la crise mondiale, ont fait passer le taux d’activité des femmes de 25-54 ans de 29.3 % en 2008 à 37.3 % en 2012.
Le taux d’activité féminine en Türkiye a toujours été très bas, ce qui révèle des insuffisances dans les ressources humaines vu que 78 % des femmes en âge de travailler n’ont pas achevé leurs études secondaires, 58 % se sont arrêtées à la fin de l’enseignement primaire ou avant, et 17 % sont illettrées.
Toutefois, entre 2005 et 2012, l’activité et l’emploi des femmes dans les zones urbaines ont tous les deux augmenté de plus de 50 %. La moitié environ de la hausse de l’emploi des femmes en ville est imputable aux diplômées du supérieur, ce qui témoigne de la progression des femmes dans l’enseignement supérieur. Les taux d’emploi ont également augmenté pour les femmes ayant un niveau d’études secondaires et, dans des proportions considérables, pour celles qui n’ont pas achevé leurs études secondaires, leur taux d’activité étant passé de 11.7 % en 2008 à 16 % en 2012. L’emploi des femmes a augmenté plus rapidement dans les services. Toutefois, le développement de l’industrie manufacturière a aussi largement contribué à l’emploi des femmes n’ayant pas atteint un niveau d’études secondaires.